Chez Luc (brèves de comptoir)

"Chez Luc", le bar où l'on peut venir bavarder ensemble à propos des choses qui fâchent, ou qui réjouissent, ou qui émeuvent ... Je vis près d'Avignon, en Provence. J'ai trois bons copains qui viennent au bar pour nous raconter la dernière du jour : Jack, de Belinto en Provence, Patrick, d'Audierne en Bretagne, et Philippe, de Piriac en Bretagne du sud (qu'on appelle aussi "Pays de Loire").

Les auteurs (le patron et les habitués)

Photo Luc

Luc, Avignon

Photo Padraig

Padraig, Audierne

Photo Jack

Jack, Belinto

Photo Philippe

Philippe, Piriac

vendredi 24 juin 2005

Peace and love



J'ai un p'tit coup de blues, là. Quand je vois dans quel monde de brutes on vit, une civilisation qui va droit dans le mur en faisant comme si tout allait pour le mieux, genre "syndrome du Titanic" (le bateau coule, mais l'orchestre continue à jouer, et on sert les petit fours sur la passerelle inclinée à 30 degrés !) ...

Quand je vois tout ça, j'ai une grosse bouffée de "peace and love". Je ressort mon Massacrier. Je vais me renseigner sur le prix des baraques sur le Larzac, avec une source, une éolienne et deux trois panneaux solaires ...

Et puis, je vais me repasser "Imagine".



Allez John, on t'écoute ...

Imagine there's no heaven,
It's easy if you try,
No hell below us,
Above us only sky,
Imagine all the people
living for today...

Imagine there's no countries,
It isnt hard to do,
Nothing to kill or die for,
No religion too,
Imagine all the people
living life in peace...

Imagine no possesions,
I wonder if you can,
No need for greed or hunger,
A brotherhood of man,
Imagine all the people
Sharing all the world...

You may say Im a dreamer,
but Im not the only one,
I hope some day you'll join us,
And the world will live as one.


Snif ! C'est si compliqué que ça, de vivre heureux tous ensemble sur cette petite planète bleue ?

Hé, ça y est, Luc pédale dans la choucroute !
J'ai coup de blues, je vous dit. J'ai bien le droit de péter un plomb de temps en temps, non ?

Pour en savoir plus :
1. Imagine
2. Savoir revivre, par Jacques Massacrier (éditel)

Crédits photos : Norwegian Wood et joyfirehollow