Chez Luc (brèves de comptoir)

"Chez Luc", le bar où l'on peut venir bavarder ensemble à propos des choses qui fâchent, ou qui réjouissent, ou qui émeuvent ... Je vis près d'Avignon, en Provence. J'ai trois bons copains qui viennent au bar pour nous raconter la dernière du jour : Jack, de Belinto en Provence, Patrick, d'Audierne en Bretagne, et Philippe, de Piriac en Bretagne du sud (qu'on appelle aussi "Pays de Loire").

Les auteurs (le patron et les habitués)

Photo Luc

Luc, Avignon

Photo Padraig

Padraig, Audierne

Photo Jack

Jack, Belinto

Photo Philippe

Philippe, Piriac

vendredi 8 juillet 2005

Pace



Y arriverons-nous un jour ?

Crédit photo : Mylens

2 Comments:

Blogger Vicnent said...

le pb, c'est que là où il y a un intérêt particulier, il y aura toujours, loi des grands nombres oblige, quelqu'un pour utiliser un moyen pour se procurer cet interêt particulier (au détriment de l'intérêt général souvent, de l'intérêt particulier des autres toujours). la fin justifiant le moyen.
deux remarques qui malheureusement mériteraient un long développement :
Le fait de vivre dans un état ultra repressif (et se donnant les moyens de faire cette repression !!) permettrait il à terme de faire prendre conscience à chacun, ou pour le moins à qui en a besoin, que pour privilégier l'intérêt particulier, il vaut mieux, en société, privilégier l'intérêt général d'abord ?
C'est entre autre pour cette raison (et la question qu'elle sous tend) que je suis en train d'attaquer mathématiquement avec Igna et la théorie des jeux cette spécificité de la réaction humaine, et plus philosophiquement, avec Bernard Werber. Mais bon, ça c'est encore un secret...

vendredi, 08 juillet, 2005  
Blogger Luc said...

Ah ? Tu connais Bernard Werber ? Moi aussi.

Et puis, il y a quelque temps, je me suis penché profondément sur la théorie des jeux, en me tenant à la rampe, heureusement.

T'as raison, tout ceci mérite un développement plutôt long. Ceci étant dit, on peut remarquer que l'Europe, berceau de la civilisation et de l'agression planétaire (via moult colonisations et conversions forcées) a fini de se taper sur la gueule comme on l'a fait pendant des milliers d'années, et a entamé en 1952 la construction Européenne. Et que, depuis, on vit en paix à l'intérieur de cette construction. Et ce, sans état ultra répressif, bien au contraire.

Jusqu'à ce que les Français votent comme des cons et foutent tout par terre.

Mais bon, il faut toujours garder l'espoir ...

vendredi, 08 juillet, 2005  

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