Chez Luc (brèves de comptoir)

"Chez Luc", le bar où l'on peut venir bavarder ensemble à propos des choses qui fâchent, ou qui réjouissent, ou qui émeuvent ... Je vis près d'Avignon, en Provence. J'ai trois bons copains qui viennent au bar pour nous raconter la dernière du jour : Jack, de Belinto en Provence, Patrick, d'Audierne en Bretagne, et Philippe, de Piriac en Bretagne du sud (qu'on appelle aussi "Pays de Loire").

Les auteurs (le patron et les habitués)

Photo Luc

Luc, Avignon

Photo Padraig

Padraig, Audierne

Photo Jack

Jack, Belinto

Photo Philippe

Philippe, Piriac

samedi 22 janvier 2005

Airbus présente l'A380


Bon, moi, je monterai pas dedans.
Vous savez pourquoi ? Ils ont décidé que, au total, il ne devrait pas dépasser 540 tonnes au décollage, et une masse à vide de 277 tonnes. Alors, comme ils arrivaient à 10 tonnes de trop, il ont gratté de partout ...
Juste un exemple pour vous donner le frisson : ils ont gratté 1,5 tonnes en diminuant la surface de l'empennage horizontal à la queue de l'avion. Comment ont-ils fait ? Les ordres du pilote passeront par un calculateur et des commandes de vol électriques. Et c'est l'ordinateur qui va piloter. Conclusion : si l'ordinateur tombe en panne, l'avion sera totalement instable et rigoureusement impilotable manuellement !

C'est juste un exemple.

(source : Science & Vie N° 1048 de Janvier 2005)

Pour en savoir plus :
1. Airbus A380: l'épopée d'un géant du ciel... (www.techno-science.net)
2. Airbus A380 Specifications (en anglais)

2 Comments:

Blogger Jack said...

Il y a bien longtemps qu'on ne sait plus piloter un avion à la main, en particulier les Airbus, depuis l'adoption du profil d'aile dit "supercritique" un nom qui veut bien dire ce qu'il dit. L'A320 aussi est piloté grâce à des calculateurs.
J'attendrai qd même un peu avant de monter dedans celui-là...

dimanche, 23 janvier, 2005  
Blogger Luc said...

Oui, c'est vrai, ce que tu dis là. De toutes façons, maintenant que c'est tout par ordinateur, si y a un bug, on est cuit ! Donc, euh ... on monte quand même, mais on évite d'y penser...
Mais celui-là, je vais faire comme toi : ne nous précipitons pas !

dimanche, 23 janvier, 2005  

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