Chez Luc (brèves de comptoir)

"Chez Luc", le bar où l'on peut venir bavarder ensemble à propos des choses qui fâchent, ou qui réjouissent, ou qui émeuvent ... Je vis près d'Avignon, en Provence. J'ai trois bons copains qui viennent au bar pour nous raconter la dernière du jour : Jack, de Belinto en Provence, Patrick, d'Audierne en Bretagne, et Philippe, de Piriac en Bretagne du sud (qu'on appelle aussi "Pays de Loire").

Les auteurs (le patron et les habitués)

Photo Luc

Luc, Avignon

Photo Padraig

Padraig, Audierne

Photo Jack

Jack, Belinto

Photo Philippe

Philippe, Piriac

vendredi 16 avril 2010

"I'll Stand by You", par Nick


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Ce soir, je vous propose "I'll Stand by You", chanson originellement chantée par The Pretenders en 1994. Mais la version de ce soir a été enregistrée en une prise, un soir tard, dans les locaux de smule, une société californienne qui développe des application hors normes pour l'iPhone et l'iPad. Il chante dans un iPhone en utilisant Glee, un vocoder qui permet de chanter à plusieurs sur la même chanson.

Bon, peu importe Glee, le résultat est super, je trouve !

Bon week-end à tous !

Les vidéos du vendredi :

Les cinq dernières :
1. "Paradise Circus", par Massive Attack (Zeds Dead Remix) (2 avril)
2. "Future Proof", par Massive Attack (live à Lyon 16/11/2009) (19 février)
3. "Relax", par Frankie Goes To Hollywood (29 janvier)
4. "Per Ulv", par Terje Rypdal (live 1978) (18 décembre)
5. "Tous ceux qui veulent changer le monde", par les Jeunes de l'UMP (11 décembre)

Le top dix :
1. "Wooden ships", par Crosby, Stills & Nash
2. "Déjà Vu", par Crosby, Stills & Nash
3. "Two months off", par Underworld
4. "My Cabal", par School of Seven Bells
5. "Novelty Waves", par Biosphere
6. "Paris", par Friendly Fires
7. "Chan Chan", par le Buena Vista Social Club
8. "Pure Devotion" par Freeloader
9. "Le cafard des fanfares", par Ours
10. "Where The Streets Have No Name" par U2

Crédit vidéo : smuleage

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2 Comments:

Blogger Padraig said...

Les produits de smule, ça me rappelle les "coding parties" ou "demo party" des années '80 sur Atari ou Commodore, où des équipes de programmeurs travaillaient et rivalisaient pendant 24 heures non-stop pour créer des démos mêlant effets sonores, effets visuels délirants, tout ça programmé évidemment en assembleur... Souvent, il y avait des limites imposées (par exemple tout doit tenir en 4 k octets). Les démos en question n'ayant évidemment strictement aucune utilité...

Ca plairait sans doute à Steve, ça - le côté truc qui est beau mais qui ne sert à rien ;-)

samedi, 17 avril, 2010  
Blogger Padraig said...

J'ai souvent estimé que l'iPhone n'était pas un téléphone. Ceci en est une nouvelle démonstration. C'est autre chose (qui, accessoirement, peut servir de téléphone).

La question est donc : sachant qu'un vrai téléphone est un outil de communication utile, est ce que cet "autre chose" a une utilité réelle (en dehors de perdre son temps à faire joujou) ?

La réponse doit dépendre des gens, la réponse n'est pas unique...

Au Japon, je me suis laissé dire que l'orientation "monétique" du téléphone se développe bien (téléphone-portefeuille). C'est, me semble-t-il, plus utile que nombre d'applications débiles sur nos smartphones occidentaux !

dimanche, 23 mai, 2010  

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