Chez Luc (brèves de comptoir)

"Chez Luc", le bar où l'on peut venir bavarder ensemble à propos des choses qui fâchent, ou qui réjouissent, ou qui émeuvent ... Je vis près d'Avignon, en Provence. J'ai trois bons copains qui viennent au bar pour nous raconter la dernière du jour : Jack, de Belinto en Provence, Patrick, d'Audierne en Bretagne, et Philippe, de Piriac en Bretagne du sud (qu'on appelle aussi "Pays de Loire").

Les auteurs (le patron et les habitués)

Photo Luc

Luc, Avignon

Photo Padraig

Padraig, Audierne

Photo Jack

Jack, Belinto

Photo Philippe

Philippe, Piriac

lundi 12 décembre 2011

La perfide Albion

Cette façon toute britannique d'être à la fois dans et en dehors de l'Europe est insupportable.
Si pour des raisons historique le Royaume Uni fait parti de l'Europe : il faut se souvenir des millions de morts sur les champs de bataille de la seconde guerre mondiale; on peine à comprendre sa position depuis le début de la formation de la CEE. 
J'accuse les autres pays de l'union d'une bien grande faiblesse face aux postures ambiguës de nos "amis" d'outre-manche.
Il y a déjà  longtemps qu'ils auraient du mettre les grands bretons au pied du mur, car à la fin c'est bien parce que la Grande Bretagne ne compte pas pour du beurre que nous ne pouvons accepter qu'elle soit à la fois dans l'Europe et le premier état des États Unis d'Amérique. 
Jamais les états fondateurs de l'Euros, n'auraient du accepter que le Grande Bretagne reste dans la communauté tout en gardant sa livre, justement parce qu'elle n'est pas un petit pays.
Nous voyons aujourd'hui le grand désordre que crée cette ambigüité.


Messieurs les Anglais il faut vous décider : vous êtes dedans ou dehors?

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3 Comments:

Blogger Padraig said...

Bah, c'est pas ça qui mettra l'Euro à terre (vu qu'ils n'y sont pas). Mais bon, c'est vrai qu'ils veulent être un pied de part et d'autre de l'Atlantique, et que ça nous déplait.

Ce qui est curieux, c'est que Londres a ainsi gagné le rang de première place financière mondiale (devant New York et Tokyo). Peut-être justement en se démarquant de l'Euro... C'était du temps du Thatchérisme un objectif déterminé (on brade l'industrie et on devient financiers du monde). Ca a marché.

Je regrette que la France n'ai pas de grand dessein du même genre (devenir les champions de xxxxxx). Du coup, on risque de devenir médiocres en tout (si ce n'est pas déjà le cas).

lundi, 12 décembre, 2011  
Blogger Jack said...

Excellent arguments Pad, mais alors qu'elle sorte de la CEE, la Norvège n'y est pas et ne s'en porte pas si mal, mais au moins c'est clair.

lundi, 12 décembre, 2011  
Blogger Padraig said...

C'est vrai, je l'admets, les Anglais jouent sur deux tableaux, et c'est très agaçant... Pas vraiment "fair play"...

D'un autre côté, ils ont aussi leur Commonwealth, qui existe toujours, avec cinquante-quatre États membres (excusez du peu)... Ca fait un troisième tableau... Un difficile exercice de jonglerie...

mardi, 13 décembre, 2011  

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