"Bullit", avec Steve Mac Queen (1968)
En me promenant chez Jean, je suis tombé sur la fabuleuse scène de course de voitures dans les rues de San Francisco, que l'on peut voir dans le film de Peter Yates : Bullit.
Ce film, je l'ai vu à la sortie dans les salles, en 1968, sur grand écran. Je me souviens encore comment cette course nous a pris au ventre, bien qu'on soit assis dans un fauteuil. Quand la voiture descend la rue en pente, en poursuivant les deux vilains pas beaux, et que la voiture saute en l'air, toute la salle sautait en l'air en même temps ! On est dans la voiture avec lui. Whouaouh !
Vous voyez, je ne suis pas particulière fan de bagnoles. Pour moi, c'est juste un tas de tôles dont la fonction est de nous amener d'un point à un autre de la façon la plus sûre et la plus confortable possible. Et ça s'arrête là.
Mais la Ford Mustang Shelby 1968, elle m'a toujours fait de l'effet. D'abord, je la trouve très belle, et puis son moteur fait un bruit qui prend vraiment aux tripes. C'est comment dire, une pulsion assez animale, finalement ...
Bon week-end à tous !
Les scènes culte des vidéos du vendredi :
1. "Délivrance", par John Boorman (1972)
2. "Bienvenue chez les Ch'tis", par Dany Boon
3. "Le Pilote", par Michel Beaudet
4. "Le permis de conduire", par Jean Yanne
5. "Qu'est ce qu'on fait, on s'risque sur le bizarre ?" (Les Tontons Flingueurs)
6. "L'aventure c'est l'aventure", par Claude Lelouch
7. "Johnny B. Goode" par Michael J. Fox (Retour vers le futur)
8. "Ministry of Silly Walks" par le Monty Python's Flying Circus
9. "Dinner for One" par Freddie Frinton et May Warden
10. "Noah" par Bill Cosby
11. "Who's On First?" par Abbott & Costello
Crédit vidéo : assasincz
Libellés : la vidéo du vendredi, scène culte
9 Comments:
Ah, un super bon film, Bullit. Une scène de 10 minutes sans un mot, juste le rugissement des moteurs, un délice ! Les garçons aimaient bien les bagnoles, et les filles aimaient bien Steve McQueen... C'est un de ces films qui nous ont fait rêver sur l'amérique - le trop fameux "American Dream" ;-)
Au fait, Luc, la Mustang, c'est 50 litres aux 100 km ou 60 litres aux 100 km ?
Mais aujourd'hui, Steve est décédé depuis 28 ans, l'amérique est en déconfiture, et il n'y a plus de pétrole pour les Mustang... Le rêve est brisé - c'est un autre monde !
San Francisco avec ses pentes cassées à chaque carrefour participe du spectacle.
Remarques bien que de nos jours il suffirait de rouler à fond dans n'importe quelle village de France pour s'envoler de la même manière, sur tous les casse-bagnoles qui pullulent un peu partout.
Je déteste ces dos d'âne et leur préfère de beaucoup les chicanes fleuries, tout aussi efficaces et moins brutales.
cette belle séquence me fait aussi remarquablement penser à un court-métrage que tu m'avais fait découvrir il y a quelques années : "le rendez-vous" de claude lelouch http://chezluc.blogspot.com/2006/02/adrnaline.html
Moi aussi je suis tombée amoureuse en voyant ce film, mais de l'acteur pas de la voiture !!! ;-)
Ben oui, Betty, le beau Steve en a ému plus d'une !
Et on apprend ce soir la mort de Paul Newman, dont la période de gloire coïncide avec celle de Steve McQueen... Ils ne s'étaient rencontrés à l'écran que pour "La tour infernale". Mais l'un et l'autre avaient fait de bien plus beau films...
C'est un peu comme la fumée des autres fumeurs quand tu as décidé d'arrêter de fumer: c'est toxique mais... bon!
Dans le cas présent, on a l'impression de mettre en route une mécanique psychologiques à perdre des points du permis rien qu'en regardant le sujet...mais bon.. Vive le métro et les transports en commun
Et oui Philippe : Bullit c'est 1968 et 40 ans ont passé.
On peut regretter le beau "Steve", mais surement pas les bagnoles de cette époque là...
Tant pis pour la "musique" du moteur Luc.
Ah bon 40 ans depuis 68 !!! aaarrggh !! mince alors !!!
- ah quel coup de vieux vous n'imaginez pas !! -
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